A suivre jusqu'au premier entre-deux des tournois de basket des Jeux Olympiques de Paris, le samedi 27 juillet, une série de rétrospectives sur les éditions précédentes.
Essayons de voir quel fut l'impact de la Dream Team 3 aux Jeux Olympiques d'Atlanta en dehors des lattes de bois du Georgia Dome ?
En résumé, on pourrait dire : 1- Inférieur à celui de la Dream team originale. À Barcelone, le phénomène était nouveau et il y avait trois méga stars dont un demi-dieu (Magic, Larry Bird et… Michael Jordan). 2- Très fort tout de même. Les Dreamteamers sont aux États-Unis des énormes célébrités nationales et le rassemblement en un même lieu est forcément un événement. La Dream Team est pour l'Amérique l'expression idéale de leur désir de puissance universelle.
À peine débarquée à l'aéroport de Hartfield, vous saviez que la Dream Team 3 était attendu à Atlanta avec le tapis rouge. Grant Hill faisait la couverture - aux côtés de l’athlète Gail Devers - de Sports Illustrated for Kids. Le très glamour mensuel Vibe affichait toute l'équipe sur sa couverture avec un titre évocateur, « Dream On ! The US Olympic Team is Ready for the World. »