BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Élite, équipe par équipe. Voici ceux de Nanterre 92.
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Il faut s’y faire, l’image de « petit Poucet » que Nanterre aime à mettre en avant n’est plus vraiment de mise. Cela fait par exemple au moins trois saisons maintenant que le club de la préfecture des Hauts-de-Seine présente une masse salariale figurant parmi les six ou huit plus importantes de la ligue. Avec, à la clé, des résultats qui maintiennent l’équipe dans le haut du tableau. Et, si cette saison Nanterre 92 n’est « que » 7e du classement, il n’y a rien d’étonnant, le club de la famille Donnadieu, avec 1,758 million d’euros de masse salariale, se positionnant en 8e position de ce classement.
Par rapport aux saisons précédentes, Nanterre a vu ses moyens – un peu – s’étoffer, ce qui lui a permis de proposer de meilleurs salaires que précédemment. Sans faire de folies, les joueurs les mieux payés – Kenny Chery et Youssou Ndoye –, touchant moins de 200 000 €. En revanche, ils sont sept à percevoir 120 000 € ou plus, ces joueurs concentrant l’essentiel de la masse salariale alors que Jean-Marc Pansa (prêté récemment à Antibes en Pro B), Damien Bouquet, tout frais émoulu de Pro B, et Mehdy Ngouama touchent un salaire proche du minimum salarial.
Ayant presque doublé son salaire par rapport à sa saison passée à Antibes, Isaïa Cordinier montre que ses soucis de santé sont derrière lui. Il vaudra bien plus cher la saison prochaine. Ce qui sera également le cas de Damien Bouquet, devenu un rouage important de l’équipe, même si ses stats restent modestes (4,9 points, 6,7 d’éval en 18,8 minutes). A contrario, Nanterre peut se demander s’il a bien fait de proposer plus que ce qu’ils gagnaient à Boulazac (120 000 €) ou à Bourg-en-Bresse (160 000 €) respectivement à Kenny Chery et Youssou Ndoye, tant ces deux joueurs peinent à se fondre dans le moule nanterrien, même si leurs stats (13,0 points et 12,7 d’éval pour le premier, 10,0 points et 11,6 d’éval pour le second) ne sont pas si négatives. Quant au reste du contingent étranger, il fournit ce dont on est en droit d’attendre de lui, sans plus. Avec une équipe courte en rotations, Nanterre va certainement devoir lutter pour se qualifier en playoffs. Et l’une des meilleures affaires de l’équipe reste encore et toujours son entraîneur, Pascal Donnadieu, au salaire ne reflétant pas le pedigree (champion de France, coach assistant de l’équipe de France championne d’Europe, etc.).
- Kenny CHERY CAN 180 000 €
- Youssou NDOYE SEN 180 000 €
- Dallas MOORE USA-ALB 160 000 €
- Devin OLIVER USA 150 000 €
- Taylor SMITH USA 140 000 €
- Spencer BUTTERFIELD USA 130 000 €
- Isaïa CORDINIER FRA 120 000 €
- Jean-Marc PANSA FRA 50 000 €
- Damien BOUQUET FRA 50 000 €
- Mehdy NGOUAMA FRA 30 000 € (sur 7 mois et demi)
- Coach: Pascal DONNADIEU FRA 108 000 €
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Il faut s’y faire, l’image de « petit Poucet » que Nanterre aime à mettre en avant n’est plus vraiment de mise. Cela fait par exemple au moins trois saisons maintenant que le club de la préfecture des Hauts-de-Seine présente une masse salariale figurant parmi les six ou huit plus importantes de la ligue. Avec, à la clé, des résultats qui maintiennent l’équipe dans le haut du tableau. Et, si cette saison Nanterre 92 n’est « que » 8e du classement à l’heure où ces lignes sont écrites, il n’y a rien d’étonnant, le club de la famille Donnadieu, avec 1,758 million d’euros de masse salariale, se positionnant en… 8e position de ce classement !
Par rapport aux saisons précédentes, Nanterre a vu ses moyens – un peu – s’étoffer, ce qui lui a permis de proposer de meilleurs salaires que précédemment. Sans faire de folies, les joueurs les mieux payés – Kenny Chery et Youssou Ndoye –, touchant moins de 200 000 €.
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Photo : Isaïa Cordinier (Nanterre 92)