Quasi sacré champion d’automne, Boulogne-Levallois est désormais dans la cour des très grands. Cela se remarque dans les salaires et dans les résultats sur le terrain.
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Il y a quatre ans, seulement quatre joueurs dépassaient les 100 000 euros de salaire annuel à Levallois, avec en pointe le Slovène Klemen Prepelic à 130 000 euros. Le club du 92 pouvait même s’honorer d’avoir dans ses rangs « le smicard le plus célèbre de France » avec Boris Diaw et ses 50 000 euros.
Depuis, la mairie de Boulogne est venue gonfler les ambitions et aussi le portefeuille du club, qui a pris le nom de Metropolitans 92. Nous parlons ici du quatrième budget (7,4 millions d’euros) et de la troisième masse salariale (2,6 millions d’euros) du championnat, derrière les deux « monstres » d’Euroleague, Monaco et Villeurbanne. Les dix joueurs pros et le coach émargent aujourd’hui à plus de 100 000 euros et les Métros ont pu s’offrir en plus deux bons pigistes.
