À Nanterre, ce ne sont pas les plus gros salaires qui performent le plus. Le résultat d’un recrutement haut de gamme avec des moyens à taille humaine, et quelques coups réalisés, dont le MVP 2019-2020 Chris Horton ou encore Tom Wimbush.
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Depuis le titre de champion de France en 2013 avec l’avant-dernier budget de la division, Nanterre progresse doucement mais sûrement niveau finances. Le budget prévisionnel de la saison est tout proche des 5,0 millions d’euros – le 12e de la division -, une barre jamais atteinte par le club, et sa masse salariale a intégré cette saison le top 8 de Betclic Elite. Selon nos informations, il s’agit de la 8e masse salariale avec près 1,78 million d’euros dépensés.
À l’intersaison, le club francilien a d’abord misé sur un duo « d’anciens », Nick Johnson et Jeremy Senglin, déjà passés par les Hauts-de-Seine il y a trois saisons, qui disposent des deux plus grosses enveloppes cette année, près de 170 000 euros. Le premier est sur les bases de sa dernière saison à Turk Telekom (14,4 points, 6,4 passes, 4,1 rebonds, 15,5 d’évaluation) quand le deuxième est plus discret (10,6 points, 1,9 passe, 9,4 d’éval), mais les deux ont un rôle majeur dans la création et n’ont loupé aucune rencontre à mi-parcours.