A l’OLB, parmi les plus petits budgets de l’Elite, il y a une belle enveloppe pour les joueurs étrangers, et une mini pour les Français. Ça se ressent dans le rendement.
Comme chaque année, Basket Europe révèle son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Betclic Élite. Ce dossier ainsi que plus de 2 000 articles premium sont exclusivement réservés à nos abonnés, et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés. N’hésitez plus, abonnez-vous.
La stratégie de recrutement d’Orléans – 14e budget de la division – s’est appuyée sur un axe 1-5 expérimenté et qui donne presque une entière satisfaction. Le meneur Chris Warren a derrière lui trois séjours espacés à Nanterre. L’OLB l’a convaincu de venir pour une augmentation de 20 000 euros vis-à-vis de la saison dernière (145 000 euros), et il produit ses meilleures statistiques offensives en carrière professionnelle, à savoir 16,2 points – 7e marqueur de Betclic Elite – avec une redoutable adresse derrière l’arc : 42,5 %, malgré une petite baisse de régime fin janvier.
Le constat est identique pour le Sénégalais Youssou Ndoye, qui est jusqu’ici le deuxième meilleur marqueur (18,4 points) – en provoquant énormément de fautes – et le meilleur rebondeur (8,5) du championnat. Il est le 9e salaire de Betclic Elite (185 000 euros), si l’on fait exception des joueurs de Monaco et Villeurbanne, est c’est entièrement mérité, d’autant que sa stature (2,11 m et les muscles qui vont avec) est rare en France.