Hormis le demi-couac Jarell Eddie, le recrutement de Strasbourg s’est révélé avisé, avec notamment un Matt Mitchell performant pour l’investissement de base. Ce qui permet aujourd’hui à la SIG d’être à la fois en lice pour les playoffs de Betclic Elite mais aussi ceux de BCL.
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Souvent placée mais jamais gagnante sur ces dix dernières saisons (huit places qualificatives pour les playoffs, aucun titre mais cinq finales jouées), la SIG Strasbourg espère que cette année sera la bonne, même si elle doit faire face à de sérieux adversaires. Pour se donner les moyens d’atteindre ses objectifs, le club alsacien a augmenté ses ressources, même en période de pandémie.
Par rapport à la saison passée, son budget a augmenté de 6,39 à 7,09 millions d’euros, et sa masse salariale a bondi de 1,68 (6e) à 1,98 million d’euros déclarés (4e). En réalité, elle serait « seulement » de 1,77 million d’euros selon nos informations, ce qui en ferait la 9e masse salariale sur l’exercice, dans un mouchoir de poche avec la deuxième partie du top 8. Cette petite marge de manœuvre – due notamment à « l’économie » sur le salaire annuel, le plus gros initialement, de Jarell Eddie, parti après six mois contre buyout – a déjà permis au club de se renforcer de Kameron Taylor, arrivé en prêt du Maccabi Tel Aviv. Et laisse une nouvelle possibilité de renfort d’ici la fin de l’exercice.
