Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici les Sharks Antibes.
Vous pouvez commander le magazine SPECIAL SALAIRES ici sur notre boutique ou vous abonnez en ligne ici.
[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
Il y a vingt ans, l’Olympique d’Antibes embauchait l’intérieur international suédois formé en NCAA, Mattias Sahlström pour 87 000 francs mensuel. Le même salaire que l’Américain Darius Hall à Gravelines ou que Keith Jennings au Mans. Le 22e revenu de la Pro A de l’époque. Sur dix mois et converti à l’Euro et considérant l’inflation, cela donnerait un salaire annuel net de 170 000 euros.
Ce salaire est de 50 000 euros plus élevé que le plus gros revenu des Sharks version 2018-19 qui est l’apanage de l’intérieur américain Tim Blue qui touche 120 000 euros. Lequel Tim Blue gagne ainsi 10 000 euros de plus que l’année dernière malgré son AVC mais présente pour l’instant l’évaluation (10,5) la plus faible depuis qu’il porte le maillot azuréen soit 2012 et alors qu’il était à 16,7 la saison passée.
Ce constat n’est pas étonnant puisque Antibes présente la masse salariale la plus faible des 18 équipes de Jeep Elite (1 017 000€) depuis que Hyères-Toulon est hors circuit. Et c’est ainsi que Trevor Thompson est le seul autre Antibois à atteindre la barre symbolique des 100 000 euros.
Avec 80 000 euros, l’intérieur Fernando Raposo est le mieux payé des Français mais est en-deca de 30 000 euros de son salaire à Gravelines. La chute la plus spectaculaire est celle de Louis Campbell qui est pointé à 60 000€ contre 130 000 à Levallois et 140 000 à Strasbourg en 2015-16. L’âge, 39 ans, du meneur américain est l’explication majeur et son rendement s’était d’ailleurs effondré avant sa blessure (4,8 d’évaluation en 6 matches), ce qui était un risque majeur, la productivité d’un sportif n’est pas éternelle.
La bonne affaire vient de l’arrière international letton Aigars Skele, qui pour sa première expérience à l’étranger se retrouve deuxième marqueur (12,2 points) et deuxième passeur (3,2) d’une équipe azuréenne qui a donc procédé à des ajustements avec le retour de l’Américano-Nigérian Chris Otule et l’embauche en pigiste de l’ancien meneur de l’ASVEL et de Limoges, Taurean Green pour éviter la relégation. Sera-ce suffisant ?
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
[table id=141 /]
[armelse]
Il y a vingt ans, l’Olympique d’Antibes embauchait l’intérieur international suédois formé en NCAA, Mattias Sahlström pour 87 000 francs mensuel. Le même salaire que l’Américain Darius Hall à Gravelines ou que Keith Jennings au Mans. Le 22e revenu de la Pro A de l’époque. Sur dix mois et converti à l’Euro et considérant l’inflation, cela donnerait un salaire annuel net de 170 000 euros.
Ce salaire est de 50 000 euros plus élevé que le plus gros revenu des Sharks version 2018-19 qui est l’apanage de
[/arm_restrict_content]
[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
Photo: Fernando Raposo (Sharks)
