BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Élite, équipe par équipe. Voici ceux des Metropolitans de Boulogne-Levallois.
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Avec la « fusion » entre Boulogne et Levallois au sein des Metropolitans 92 et l’arrivée à sa présidence de Boris Diaw, le club altoséquanais change de dimension. De 1,398 million en 2017-18 puis 1,641 million en 2018-19 (7e de Jeep Élite), sa masse salariale passe cette saison à 2,285 millions (4e de la division), soit une progression de quasiment 40 % en un an !
Ils sont quelques joueurs à largement en profiter. Ainsi, parmi ceux qui étaient déjà présents au club la saison passée, Ivan Février est passé de 30 000 à 70 000 €, David Michineau a gagné 20 000 €, Maxime Roos 10 000 €, tout comme Mouph’ Yarou malgré des stats en net retrait cette saison (6,5 d’éval contre 15,4 l’an dernier) suite à une grave blessure et à l’arrivée sur son poste d’un poids lourd, Vitalis Chikoko.
Celui-ci est l’un des principaux bénéficiaires du nouveau statut « métropolitain » : payé ces deux dernières saisons 100 000 € puis 120 000 € à Pau-Lacq-Orthez, il voit ses émoluments plus que doubler à 250 000 €, de quoi en faire le cinquième joueur le mieux payé de Jeep Élite cette saison. Autre nouvel arrivant ayant forcément le sourire, Bastien Pinault, émargeant à 40 000 € puis 54 000 € à Chalon-sur-Saône les deux saisons précédentes et qui fait plus que doubler son salaire.
Du côté des non-JFL, Donta Smith s’est vu proposer le même salaire qu’à l’Élan Béarnais alors que Jamel Artis et Briante Weber ont droit à des montants confortables (pour la France s’entend).
Boulogne-Levallois propose donc des salaires en nette progression (en 2017-18, les trois plus élevés culminaient à 160 000 € (Klemen Prepelic), 130 000 € (Louis Campbell) et 120 000 € (Gavin Ware) ; en 2018-19, Mouph’ Yarou et Julian Wright auraient dû toucher 170 000 € chacun (Wright étant parti avant la fin de son contrat) et Roko-Leni Ukic était payé 135 000 €). Et le résultat semble plutôt probant : 12e la saison passée, les « Metros » sont aujourd’hui 4e après 19 journées.
- Vitalis CHIKOKO ZMB 250 000 €
- Briante WEBER USA 220 000 €
- Jamel ARTIS USA 180 000 €
- Mouphtaou YAROU BEN 180 000 €
- Donta SMITH USA 180 000 €
- Rob GRAY USA 140 000 €
- Bastien PINAULT FRA 110 000 €
- David MICHINEAU FRA 100 000 €
- Ivan FEVRIER FRA 70 000 €
- Maxime ROOS FRA 60 000 €
- Neal SAKO FRA 30 000 €
- Georgi JOSEPH FRA 8 000 €/mois
- Sadiou DOUCORE FRA 6 000 €/mois
- Coach : Freddy FAUTHOUX FRA 150 000 €
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
Photo: Vitalis Chikoko (Metropolitans 92)
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Avec la « fusion » entre Boulogne et Levallois au sein des Metropolitans 92 et l’arrivée à sa présidence de Boris Diaw, le club altoséquanais change de dimension. De 1,398 million en 2017-18 puis 1,641 million en 2018-19 (7e de Jeep Élite), sa masse salariale passe cette saison à 2,285 millions (4e de la division), soit une progression de quasiment 40 % en un an !
Ils sont quelques joueurs à largement en profiter. Ainsi, parmi ceux qui étaient déjà présents au club la saison passée, Ivan Février est passé de 30 000 à 70 000 €, David Michineau a gagné 20 000 €,
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