BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Élite, équipe par équipe. Voici ceux de la Jeunesse Laïque Bourg-en-Bresse.
Si ce n’est pas encore le cas, vous pouvez vous abonner pour moins de 14 centimes € par jour : ICI.
[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
Lorsqu’en 2014-15 la JL Bourg faisait une tentative infructueuse de se réinstaller en Pro A, pas une tête ne dépassait au niveau des salaires. Chris Roberts et Steven Smith culminaient à 115 000€. Il y a deux ans, pour son retour en Jeep Elite après un titre de champion de France de Pro B, les Burgiens avaient cassé leur tirelire pour Chase Simon (140 000€) et Zachery Peacok (150 000€). Aujourd’hui, le club de l’Ain, qui remplit Ekinox à près de 100% de sa capacité (3 527 places) à chaque match possède la 10e masse salariale de la division, tout près de Chalon et Nanterre, et cette hausse se ressent dans certains revenus.
Zachery Peacock gagne bien sa vie à Bourg, c’est le 5e salaire de Jeep Elite, lui qui pour sa première saison en France, en 2013, touchait 80 000€ à Boulogne. La JL choie le MVP de Jeep Elite de 2018 et c’est un bon investissement. Ses stats (13,2 points, 4,8 rebonds) sont en recul mais cela s’explique aussi par un meilleur entourage qui ne l’oblige plus à être au four et au moulin. On trouve par ailleurs quatre autres étrangers à 140 000€ et davantage dont Zack Wright, qui va avoir 35 ans le 5 février et qui fut opéré en mars 2019 d’une hernie discale, mais qui a toujours le même rendement. Jackie Carmichael s’est bien stabilisé dans l’Ain lui qui a connu quatre clubs la saison dernière. Le Serbe Danilo Andjusic peut être considéré comme une bonne affaire puisqu’il est le meilleur marqueur de l’équipe (16,2 points, avec un remarquable 50,0% à trois-points) et le numéro 1 à l’évaluation (16,2).
Clairement, la stratégie de la JL est de mettre l’essentiel de sa masse salariale sur les étrangers. Un seul Français dépasse les 100 000€ : Pierre Pelos, qui a presque triplé ses émoluments vis-à-vis de Fos-sur-Mer où il se contentait de 42 000€. Maxime Courby a été un peu augmenté, Fréjus Zerbo est au minimum syndical, et les autres sont des espoirs.
C’est… payant puisque la JL Bourg a clôturé le cycle aller à la cinquième place, à égalité avec Cholet, avec un excèdent de victoires (11-6) et peut réaliser son objectif : jouer une coupe d’Europe la saison prochaine.
- Zachery PEACOCK USA 250 000 €
- Zack WRIGHT USA-BOS 180 000 €
- Jackie CARMICHAEL USA 180 000 €
- Chris JOHNSON USA 170 000 €
- Garrett SIM USA 140 000 €
- Pierre PELOS FRA 110 000 €
- Danilo ANDJUSIC SRB 108 000 € (Sur 9 mois)
- Maxime COURBY FRA 90 000 €
- Jamar WILSON USA-FIN 90 000 €
- Frejus ZERBO CIV 40 000 €
- Coach: Savo VUCEVIC FRA 100 000 €
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
Photo: Zach Peacock (JL Bourg)
[armelse]
Lorsqu’en 2014-15 la JL Bourg faisait une tentative infructueuse de se réinstaller en Pro A, pas une tête ne dépassait au niveau des salaires. Chris Roberts et Steven Smith culminaient à 115 000€. Il y a deux ans, pour son retour en Jeep Elite après un titre de champion de France de Pro B, les Burgiens avaient cassé leur tirelire pour Chase Simon (140 000€) et Zachery Peacok (150 000€). Aujourd’hui, le club de l’Ain, qui remplit Ekinox à près de 100% de sa capacité (3 527 places) à chaque match possède la 10e masse salariale de la division, tout près de Chalon et Nanterre, et cette hausse se ressent dans certains revenus.
[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
