Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici le Champagne Châlons-Reims Basket.
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Du Staples Center de Los Angeles à la salle Coubertin à Châlons-en-Champagne. C’est le changement de décor spectaculaire effectué en quelques étés par Devin Ebanks. Car le gars du Queens a joué 63 matches aux Lakers de 2010-13 avec Kobe Bryant, 15 fois dans le cinq de départ mais sans jamais faire sa place au soleil, et aussi quelques éclats comme d’avoir enlevé son maillot en plein match ou avoir été piqué à conduire en état d’ivresse. Devin Ebanks est un formidable scoreur qui était déjà à 20,7 points à Porto-Rico et à 21,6 points en A2 italienne la saison dernière. Il secoue les filets de la Jeep Elite depuis son arrivée au point de se retrouver top scoreur avec 21,9 points plus 8,3 rebonds. Du bel ouvrage.
Devin Ebanks est l’un des symboles de la montée en puissance du CCRB qui pouvait être jusqu’ici considéré comme le club le plus anonyme de la Jeep Elite ; le fait de jouer dans deux villes et des salles peu adaptées étant un handicap majeur. L’autre recrue qui a fait sensation, c’est bien entendu Blake Schilb, auteur d’un triplé mémorable (championnat, Semaine des As, Coupe de France) avec Chalon en 2011-2012 avec en sus pour lui le trophée de MVP étranger. L’Elan lui avait alors offert avec 250 000 euros le plus beau contrat de la Jeep Elite. A 34 ans, l’international tchèque ne pouvait pas être aussi gourmand mais en signant pour deux années garanties plus une autre en cas de playoffs la saison prochaine, il a opté pour la sécurité. Et à ce jour, son évaluation (15,4) est la meilleure depuis cinq ans.
Jimmy Baron est le troisième (relatif) gros salaire de l’équipe. Venu de Lituanie, l’arrière américain est très performant à trois-points (45,5%).
Jo Passave-Ducteil (10,1 points, 4,8 rebonds) répond également présent avec un tarif en hausse de 15 000€ vis à vis de ce qu’il touchait à Nanterre la saison dernière mais loin de ses émoluments (120 000€) d’avant sa blessure au genou.
La grosse déception, c’est le meneur portoricain Alex Abreu qui a visiblement du mal à franchir le cap Pro B/Jeep Elite (de 14,7 à 5,5 au niveau de l’évaluation) alors que son salaire a été revalorisé (80 000€ au lieu de 60 000).
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Du Staples Center de Los Angeles à la salle Coubertin à Châlons-en-Champagne. C’est le changement de décor spectaculaire effectué en quelques étés par Devin Ebanks. Car le gars du Queens a joué 63 matches aux Lakers de 2010-13 avec Kobe Bryant, 15 fois dans le cinq de départ mais sans jamais faire sa place au soleil, et aussi quelques éclats comme d’avoir enlevé son maillot en plein match ou avoir été piqué à conduire en état d’ivresse. Devin Ebanks est un formidable scoreur qui était déjà à 20,7 points à Porto-Rico et à 21,6 points en A2 italienne la saison dernière. Il secoue les filets de la Jeep Elite depuis son arrivée au point de se retrouver top scoreur avec 22,1 points plus 8,3 rebonds. Du bel ouvrage.
Devin Ebanks est l’un des symboles de la montée en puissance du CCRB qui pouvait être jusqu’ici considéré comme le club le plus anonyme de la Jeep Elite ; le fait de jouer dans deux villes et des salles peu adaptées étant un handicap majeur. L’autre recrue qui a fait sensation, c’est bien entendu Blake Schilb, auteur d’un triplé mémorable (championnat, Semaine des As, Coupe de France) avec Chalon en 2011-2012 avec en sus pour lui le trophée de MVP étranger. L’Elan lui avait alors offert
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Photo: Devin Ebanks (CCRB)
