Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici Cholet Basket.
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L’idée, c’est de faire pleinement confiance à un jeune de 17 ans hyper talentueux, le meilleur en Europe de sa génération -même si Théo Maledon en plein épanouissement à l’ASVEL et Malcolm Cazalon sont du même tonneau- à un tarif réduit dû à son âge : 54 000€ avec la possibilité de monter à 60 000 avec des bonus. Seulement pour l’instant Killian Hayes n’a pas -encore- trouvé la bonne carburation, se contentant de 5,4 points à 33,3% de réussite et 5,1 d’évaluation lors des 20 minutes qui lui sont octroyées en moyenne.
D’ailleurs, les joueurs employés à bas prix ne sont pas à ce jour très rentables. Que ce soit les espoirs Karlton Dimanche, 18 ans, et Melvyn Govindy, 21 ans, ni même Abdoulaye Ndoye, 20 ans, aussi prometteurs soient-ils où les plus anciens, le Belge Olivier Troisfontaines, réputé shooteur et qui en est à 32,7% aux tirs, et le big man Romain Duport (3,9 d’éval).
Pas facile de s’intégrer dans une équipe qui navigue en eaux troubles. Le rejet du meneur Tywain McKee, payé 45 000€ de moins qu’au Mans il y a trois ans où il avait été redoutable, n’ont pas aidé le démarrage de l’équipe du Maine-et-Loire drivé par un coach rookie qui est au même tarif que Thomas Andrieux (Boulazac) et Rémi Giuitta (Fos). Philippe Hervé, qui avait un solide background, était payé deux fois plus cher, ce qui en faisait le sixième coach de Jeep Elite au niveau de la rémunération.
A l’inverse, Cholet Basket peut se satisfaire du rendement de Pape Sy, meilleur évaluation de l’équipe avec 15,1. Payé 140 000 euros à Gravelines, l’éphémère joueur des Atlanta Hawks avait obtenu une augmentation à 180 000 euros en passant à Strasbourg, mais ses blessures ont raboté sa valeur sur le marché.
Un qui est une valeur sûre, c’est le pivot Frank Hassell. Arrivé en France par la Pro B et Boulazac à 95 000€, il était à 130 000€ au Portel et pour s’attacher les services de Monsieur Double-Double, CB a dû rajouter 30 000€ à sa paye annuelle. Mais c’est le juste prix surtout si cela permet de sauver sa peau dans la division.
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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L’idée, c’est de faire pleinement confiance à un jeune de 17 ans hyper talentueux, le meilleur en Europe de sa génération -même si Théo Maledon en plein épanouissement avec l’ASVEL et Malcolm Cazalon sont du même tonneau- à un tarif réduit dû à son âge :
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Photo: Frank Hassell (Julie Dumilié, BCM)
