Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici le Basket Club Maritime Gravelines Dunkerque Grand Littoral.
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Même s’il n’a jamais été champion de France et une seule fois finaliste, le BCM Gravelines-Dunkerque a de longue date bien payé ses joueurs. C’est toujours le cas. N’a-t-il pas le sixième budget (5 837 000 euros) et la sixième masse salariale (1 833 000 euros) de la Jeep Elite sachant que les équipes qui le devancent jouent la Champions League ou l’Eurocup ?
C’est le BCM qui a réussi à séduire Alain Koffi forcément prisé en sa qualité d’intérieur international même si son âge (35 ans en ce mois de novembre) avance. Suite à ses problème physiques récurrents, l’ancien Manceau était descendu à 80 000 euros à Rouen avant de rebondir à Pau où il touchait 120 000 la saison dernière. Le BCM lui a donc offert un « beau contrat » qui sera peut-être le dernier de sa carrière. Pour l’instant Alain Koffi tient une ligne de stats équivalente à celles de ses quatre dernières saisons.
A Gravelines donc, pas un salaire à moins de 110 000€ pour les neuf pros titulaires avec un vrai gros chèque pour Edgar Sosa, le septième de la Jeep Elite alors que les six premières places sont squattées par Villeurbannais et Monégasques. Le talent se paye. Avec 14,3 points et 4,8 passes -des stats calquées sur celles obtenues avec les New Zealand Brakers (équipe néo-zélandaise incluse dans la ligue australienne) la saison précédente- le meneur dominicain à la barbichette répond aux attentes.
En ce qui concerne les autres entrants qui opéraient déjà en Jeep Elite, Karvel Anderson était à 75 000 euros à Boulazac et Bangaly Fofana à 160 000 à Monaco. Le premier avait pu faire apprécier ses talents de shooteur ce qui explique sa légitime augmentation. Le second n’avait pu jouer que 2 matches de saison régulière avec Monaco à cause d’un genou défectueux et visiblement il n’a pas encore retrouvé le bon rythme.
Pour sa deuxième année de head coach, Julien Mahé conserve une rétribution sensiblement en-dessous de celles de ses joueurs.
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Même s’il n’a jamais été champion de France et une seule fois finaliste, le BCM Gravelines-Dunkerque a de longue date bien payé ses joueurs. C’est toujours le cas. N’a-t-il pas le sixième budget (5 837 000 euros) et la sixième masse salariale (1 833 000 euros) de la Jeep Elite sachant que les équipes qui le devancent jouent la Champions League ou l’Eurocup ?
C’est le BCM qui a réussi à séduire Alain Koffi forcément prisé en sa qualité d’intérieur international même si son âge (35 ans en ce mois de novembre) avance. Suite à ses problème physiques récurrents, l’ancien Manceau était descendu à 80 000 euros à Rouen avant de rebondir à Pau où il touchait 120 000 la saison dernière. Le BCM lui a donc offert un « beau contrat » qui sera peut-être le dernier de sa carrière.
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Photo: Edgar Sosa (Julie Dumilié, BCM)
