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Considéré par certains experts comme le meilleur joueur de high school en 2014, comparé un temps à Amar’e Stoudemire, étudiant à la prestigieuse université de Kansas, un tout petit peu de NBA, de la G-League, un passage à Villeurbanne, une saison complète à Bamberg, Cliff Alexander a des références. C’est aussi un « 5 » et des bons, il y a moins que des arrières. Voilà qui explique le fait que le natif de Chicago est le joueur le mieux payé du Mans. Son rendement ? Intraduisible. Désespérant sous l’ère Dounia Issa, il semble partir du bon pied avec son remplaçant Elrick Delord. Il est puissant, explosif et a de bonnes mains mais la régularité n’est pas son fort.
Le reste des Manceaux est dans une fourchette identique. DJ Stephens a gagné 20 000 euros entre son premier passage en 2017-18 et cette saison et Omi Emegano 30 000€ comparativement à ces émoluments à la JDA Dijon. Cela reste une très bonne affaire, surtout pour un Cotonou, tant il est remarquable de régularité et d’efficacité (13,1 points à 49,9% à trois-points, 13,7 d’évaluation contre 8,4 la saison précédente).
Les autres joueurs paraissent payés au juste prix et à l’évidence il n’y a pas de folies. Jacques Alingue était à 80 000 euros à Strasbourg suite à sa première rupture du tendon d’Achille et une seconde survenue un an plus tard a empêché le Normand de connaître une fin de carrière doré. A 38 ans, JP Batista ne peut plus prétendre aux mêmes rentrées d’argent. Il percevait 150 000€ lors de sa saison à Limoges (2014-15) avec qui il fut champion de France. Le pivot brésilien est tout de même sollicité autant que cette saison-là pour un rendement quasi équivalent et il s’en est plutôt bien sorti en début de saison lorsque Cliff Alexander était à la rue. Avec le retour de Brandon Taylor, il se retrouve néanmoins souvent sacrifié puisque le MSB a dans ses rangs un « non JFL » en trop. Sur sa valeur intrinsèque Terry Tarpey -un Français mais pas JFL- est une bonne affaire mais il a souffert de multiples blessures qui ont amoindri son rayonnement global. Terry Tarpey, Valentin Bigote et Antoine Eito ont des contrats longue durée.
A noter que le MSB est l’un des rares clubs à ne pas fournir d’avantages en nature (logement et/ou voiture) à ses joueurs français, ce qui est valorisé à 18-30 K euros annuels selon les villes.
- Cliff ALEXANDER USA 200 000 €
- STEPHENS D.J. USA 150 000 €
- Brandon TAYLOR USA 140 000 €
- Valentin BIGOTE FRA 140 000 €
- Jacques ALINGUE FRA 120 000 €
- Antoine EITO FRA 120 000 €
- Obi EMEGANO NGA 110 000 €
- Terry TARPEY USA 100 000 €
- Joao Paulo BATISTA BRA 90 000 €
- Taurean GREEN GEO 90 000 € (sur 9 mois)
- Matthieu GAUZIN FRA 30 000 €
- Coach: Elric DELORD FRA 80 000 €
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Considéré par certains experts comme le meilleur joueur de high school en 2014, comparé un temps à Amar’e Stoudemire, étudiant à la prestigieuse université de Kansas, un tout petit peu de NBA, de la G-League, un passage à Villeurbanne, une saison complète à Bamberg, Cliff Alexander a des références. C’est aussi un « 5 » et des bons, il y a moins que des arrières. Voilà qui explique le fait que le natif de Chicago est
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Photo: Cliff Alexander (MSB)