Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici l’Etoile Sportive Saint-Michel Côte d’Opale.
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Sept joueurs entre 60 et 70 000 euros. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au Portel, on a le sens de l’égalité. La masse salariale (1 219 000 euros, la même que la saison dernière alors que l’ESSM jouait la FIBA Europe Cup), il est vrai, ne laisse pas de place aux folies.
Les deux revenus qui sont -largement- au-dessus des autres concernent forcément des Américains. Darrell Williams est le mieux loti. Son profil de 4/5 y est pour beaucoup. Rappelons que le Chicagoan était la saison dernière en Turquie au sein de l’avant-dernière équipe (Yesilgiresun). Avec ses 14,0 points et ses 6,7 rebonds de moyenne, le barbu ne déçoit pas. Il est payé 10 000 euros de plus que ne l’était la saison dernière Frank Hassell.
Le second, c’est l’arrière-ailier Anthony Hilliard. Lui aussi est conforme aux prévisions (15,0 points, 4,3 rebonds et 2,4 passes). On se souvient que l’ancien étudiant de Elizabeth City State contribua largement à la montée d’Antibes en Pro A en 2013 avant de se blesser au genou la saison suivante ne pouvant assurer que 11 matches.
Rien de spectaculaire pour le reste et pour l’anecdote sachez que Benoit Mangin gagnait 40 000 euros en Pro B lors de la saison 2013-14.
A 36 ans, le pigiste Yakhouba Diawara joue visiblement pour le plaisir sachant que son salaire était de 875 000 dollars lors de la saison 2008-09 au Miami Heat (il a disputé 187 matches en NBA) et qu’il a aussi bien gagné sa vie en Italie.
Le troisième salaire de l’équipe, c’est donc celui du coach Eric Girard. Il était à 60 000 euros en Pro B alors que sa maladie l’avait mis hors-circuit après ses années Cholet/LeHavre/Strasbourg/Limoges. Son pedigree et ses résultats avec l’ESSM parlent pour lui.
Mais en fait ce qui n’a pas de prix au Portel… C’est la ferveur du public du Chaudron.
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Sept joueurs entre 60 et 70 000 euros. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au Portel, on a le sens de l’égalité. La masse salariale (1 219 000 euros, la même que la saison dernière alors que l’ESSM jouait la FIBA Europe Cup), il est vrai, ne laisse pas de place aux folies.
Les deux revenus qui sont -largement- au-dessus des autres concernent forcément des Américains.
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Photo: Jean-Victor Traore (FIBA)
