Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici les Levallois Metropolitans.
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Cinquième saison d’affilée en Jeep Elite pour l’imposant pivot béninois Mouphtaou Yarou (2,08m, 28 ans). Première saison au Mans, Yarou est acquis pour 80 000€ car s’il a réalisé des prouesses avec le Radnički Kragujevac, le séjour a tourné court car, dit-il, il n’était pas payé et l’ancien étudiant de Villanova est demeuré plusieurs mois sans jouer. Et puis le MSB a dû verser une indemnité pour le transfert. Après une saison timide, le Béninois double la mise pour sa deuxième dans la Sarthe réalisant un remarquable double double (10,0 points et 10,8 rebonds). Son salaire est logiquement plus que doublé : 170 000 euros. Patatras ! Il multiplie les problèmes physiques (8,6 points, 5,6 rebonds) et il est obligé d’aller se refaire la cerise à Antibes pour un salaire revu sérieusement à la baisse : 90 000€. De fait, il retrouve sa verve au milieu des Sharks est c’est pourquoi Levallois a dû lâcher le même salaire que lors de ses deux dernières années au Mans. Et Mouph le vaut bien !
L’ailier américain Julian Wright, c’est différent. Il a beaucoup bourlingué jouant notamment 4 saisons en NBA et au Panathinaikos et dit avoir privilégié le cadre de vie. Levallois, c’est à portée de métro de Paris. Roko Leni Ukic c’est un peu pareil -il a porté des maillots de NBA et du Pana et aussi de Barcelone et de Fenerbahçe- d’autant qu’à 34 ans, l’international croate ne peut plus demander la lune.
Voici trois bonnes affaires réalisées notamment par le nouveau GM, Alain Weisz ; le trio cumulant 552 des 951 points de l’évaluation des Metropolitans. Le reste de l’équipe, c’est plus classique et équilibrée. Le point noir vient de Rasheed Sulaimon qui ne parvient pas à élever son niveau de jeu avec un médiocre pourcentage de réussite aux shoots (30,2).
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Cinquième saison d’affilée en Jeep Elite pour l’imposant pivot béninois Mouphtaou Yarou (2,08m, 28 ans). Première saison au Mans, Yarou est acquis pour 80 000€ car s’il a réalisé des prouesses avec le Radnički Kragujevac, le séjour a tourné court car, dit-il, il n’était pas payé et l’ancien étudiant de Villanova est demeuré plusieurs mois sans jouer. Et puis le MSB a dû verser une indemnité pour le transfert. Après une saison timide, le Béninois double la mise pour sa deuxième dans la Sarthe réalisant un remarquable double double (10,0 points et 10,8 rebonds).
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Photo: Mouph Yarou (Sharks)