Nous re-publions les salaires des joueurs et coaches des 18 équipes de Jeep Elite pour la saison 2018-19 qui sont déjà parus en exclusivité sur notre site en octobre avec les commentaires originaux.
BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici le Limoges Cercle Saint-Pierre.
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Le CSP aura donc acquis la doublette choletaise pour une somme globale très raisonnable de 240 000 euros l’année. Cela accorde vis-à-vis de leur salaire annuel à Cholet une augmentation de 40 000€ à l’intérieur Jerry Boutsiele et -seulement- 10 000€ au néo-meneur international Jonathan Rousselle. Les deux joueurs passent toutefois d’un club voué aux derniers rangs à un autre censé jouer les premiers rôles en Jeep Elite tout en disputant l’Eurocup.
Du côté des Français, le salaire le plus surprenant est celui de Damien Inglis qui est sous la barre des 100 000 euros. Le Guyanais a été très précoce puisqu’après sa formation à l’INSEP et une seule saison en Pro A, à Roanne, il avait été drafté en 31e position par les Milwaukee Bucks, ce qui lui valut à peine majeur un salaire de rookie à 820 000 dollars. La suite fut moins glorieuse : Inglis rata le coche en NBA victime d’une fracture de fatigue à la cheville qui nécessita une opération et dû se replier en D-League. Il amorça la deuxième partie de sa carrière européenne en Italie, à Orlandina. Echec. Son passage à Strasbourg l’a relancé mais avec 6,8 points et 4,2 rebonds, il est encore bien en deca de son potentiel physique… Il n’a que 23 ans et doit polir un jeu encore frustre.
Ses très nets progrès, ses qualités de shooteur longue distance et aussi sa capacité à faire un peu tout sur le terrain ont valu cet été à William Howard une belle augmentation de 60 000 euros alors que Axel Bouteille -qui est avec 13 dans les deux cas le meilleur marqueur et la meilleure évaluation du CSP- est stationnaire depuis 2017-18. Si le club veut le conserver, il faudra mettre de l’argent au portefeuille.
Pas du surprise : Sekou Doumbouya est un « espoir » mais quand on sait qu’il est placé tout en haut des prévisions de la prochaine draft NBA -3e pour nbadraft.net-, on ne s’inquiète pas pour son futur. Le Slovène Luka Doncic qui a été précisément drafté en troisième position en juin a négocié un contrat de 7 692 200$ pour sa première année, en attendant beaucoup plus.
Si Mam Jaiteh avait un salaire conforme à sa valeur… a priori, on comprend que le CSP souhaitait son départ puisqu’il ne le faisait plus jouer !
Les quatre étrangers sont dans la même fourchette avec un contrat de deux ans pour Samardo Samuels. On imagine que la perspective de lui payer de belles indemnités de licenciement a pesé fortement dans le choix du club de le conserver après sa mise à pied pour insultes envers le coach. Quant à London Perrantes, 24 ans, son attitude vilipendée par son coach en avait fait un joueur hors de prix.
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Le CSP aura donc acquis la doublette choletaise pour une somme globale très raisonnable de 240 000 euros l’année. Cela accorde vis-à-vis de leur salaire annuel à Cholet une augmentation de 40 000€ à l’intérieur Jerry Boutsiele et -seulement- 10 000€ au néo-meneur international Jonathan Rousselle.
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Photo: Sekou Doumbouya (Eurocupbasketball)