BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Pro A, équipe par équipe. Voici le Limoges Cercle Saint-Pierre.
On peut déjà écrire que le recrutement 2017-18 du Limoges CSP est une réussite, surtout côté français.
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Il y a deux ans, le CSP était en Euroleague, possédait le plus gros budget et la plus grosse masse salariale et affichait trois salaires à 200 000 euros : Randy Culpepper (220 000), Ali Traore (220 000) et Léo Westermann (200 000). Seul Mathieu Wojciechowski était sous la barre des 100 000. On sait ce qu’il advint : l’osmose ne fut jamais réalisée, le CSP se classa piteusement à la 10e place et le recrutement de Culpepper fut un fiasco total.
S’en suivit une sévère cure d’amaigrissement. Les gros salaires quittèrent le navire et le mieux rémunéré la saison suivante fut Ousmane Camara avec 156 000€.
La situation limougeaude en cette saison 2017-18 est intermédiaire. Six joueurs sont à plus de 100 000 si l’on inclut A.J. English qui ne fait plus partie de l’effectif. Une recrue presque aussi peu rentable que Randy Culpepper mais rapidement avantageusement remplacée par Dru Joyce.
C’est Kenny Hayes qui se voit attribuer le meilleur salaire. C’est le 12e de Pro A si l’on inclut les Français. C’était quand même un pari car ce combo guard avait surtout opéré jusqu’ici dans des équipes de bas de tableau. Il est réussi si on se réfère au fait qu’il est le meilleur marqueur (12,7 points) et à l’évaluation (13,8) de l’équipe et que… le public (limougeaud) l’a élu pour participer au All-Star Game.
Par ailleurs, à 100 000€, le all-star William Howard (11,8 pts) et le néo-international Axel Bouteille (11.0 pts) sont des bonnes affaires. Et vu leur âge -respectivement 24 et 22 ans- ils ne peuvent que se bonifier.
Surtout, le CSP réalise un bon début de saison ce qui indique que l’investissement salarial est une réussite, considérant que Mam Jaiteh, un pivot, et Jeff Morency, un intérieur, sont au prix du marché.
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Salaire du coach Kyle Milling : 65 000€ (voir tous les salaires des coachs sur notre article récapitulatif)
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Il y a deux ans, le CSP était en Euroleague, possédait le plus gros budget et la plus grosse masse salariale et affichait trois salaires à 200 000 euros : Randy Culpepper (220 000), Ali Traore (220 000) et Léo Westermann (200 000). Seul Mathieu Wojciechowski était sous la barre des 100 000. On sait ce qu’il advint : l’osmose ne fut jamais réalisée, le CSP se classa piteusement à la 10e place et le recrutement de Culpepper fut un fiasco total.
S’en suivit une sévère cure d’amaigrissement.[/arm_restrict_content]
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Photo: Axel Bouteille (Eurocup)
