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[REDIFF] Spécial salaires – Lyon-Villeurbanne : Pas d’extravagances pour l’Euroleague

BasketEurope.com offre à ses abonnés en exclusivité les salaires de tous les joueurs de Jeep Elite, équipe par équipe. Voici ceux de LDLC Asvel. Pour vous abonner c’est ICI.

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Invité à disputer l’Euroleague cette saison et la prochaine, Tony Parker, le président de LDLC Asvel, aurait pu mettre les petits plats dans les grands afin de se positionner sur la scène européenne. Alors, certes, le budget du club villeurbannais connaît une belle progression –  11,436 millions d’euros contre 9,158 millions la saison passée (pratiquement 25 % d’augmentation) – mais ce n’est pas uniquement la masse salariale qui en profite. Oui, elle augmente aussi, de 2,966 millions en 2018-19 à 3,508 millions cette saison mais dans de moindres proportions que le budget (+ 18 % « seulement »).

En fait, c’est surtout en examinant le montant des salaires proposés par le club de TP que l’on voit que celui-ci n’a pas fait de « folies » : alors que l’an dernier, deux joueurs émargeaient à plus de 300 000 € (Mantas Kalnietis et Miro Bilan, tous deux aux alentours de 320 000 € mais le salaire du meneur lituanien était pris pour moitié en mains par Milan), aucun joueur cette saison ne touche plus de 280 000 € (Tonye Jekiri). De même, cinq joueurs touchent 200 000 € ou plus, contre six les deux années précédentes. A contrario, Lyon-Villeurbanne a mis l’accent sur la densité : dix joueurs touchent plus de 150 000 € cette année, contre huit la saison dernière et la précédente – et quatorze joueurs ont un véritable rôle dans l’effectif.

Si le pivot nigérian Tonye Jekiri perçoit probablement un meilleur salaire que précédemment en Turquie, il aurait sans doute pu gagner plus ailleurs, dans des clubs d’Euroleague plus fortunés – mais il n’aurait pas bénéficié de la même exposition. De leur côté, Edwin Jackson et Antoine Diot ont signé à l’Asvel pour des sommes bien inférieures elles aussi à ce qu’ils auraient pu revendiquer à l’étranger, vu leur pedigree. Le choix du cœur pour le premier, peut-être bien de la raison pour le second, qui revient juste de graves blessures.

Dans tous les cas, l’option prise par Tony Parker et son staff se révèle judicieuse : l’équipe a connu un début de saison en Euroleague bien au-dessus des attentes et elle se promène « gentiment » en Jeep Élite, assurant sans forcer sa qualification en Leaders Cup et, très probablement, en playoffs.

  • Tonye JEKIRI        NGA   280 000 €
  • Charles KAHUDI        FRA   260 000 €
  • Adreian PAYNE   USA  260 000
  • Edwin JACKSON         FRA   250 000 €
  • Adreian PAYNE        USA   230 000 €
  • Livio JEAN-CHARLES    FRA   200 000 €
  • Amine NOUA        FRA   180 000 €
  • Jordan TAYLOR         USA   180 000 €
  • Antoine DIOT         FRA   180 000 €
  • David LIGHTY         USA   180 000 €
  • Ismael BAKO         BEL   150 000 €
  • Rihards LOMAZS         LET   130 000 €
  • Théo MALEDON        FRA   70 000 €
  • Charles GALLIOU        FRA   40 000 €
  • Matthew STRAZEL        FRA   30 000 €
  • Coach: Zvezdan MITROVIC   MON   240 000 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

Photo : Tonye Jekiri (Asvel)

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Invité à disputer l’Euroleague cette saison et la prochaine, Tony Parker, le président de LDLC Asvel, aurait pu mettre les petits plats dans les grands afin de se positionner sur la scène européenne. Alors, certes, le budget du club villeurbannais connaît une belle progression –  11,436 millions d’euros contre 9,158 millions la saison passée (pratiquement 25 % d’augmentation) – mais ce n’est pas uniquement la masse salariale qui en profite. Oui, elle augmente aussi, de 2,966 millions en 2018-19 à 3,508 millions cette saison mais dans de moindres proportions que le budget (+ 18 % « seulement »).

En fait, c’est surtout en examinant le montant des salaires proposés par le club de TP que l’on voit que celui-ci n’a pas fait de « folies »

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