Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de Nanterre 92.
Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.
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« Dans la moyenne », c’est ce qui vient à l’esprit en consultant la liste des salaires de Nanterre 92. D’ailleurs, si le club des Hauts-de-Seine n’a que la 11e masse salariale (1 586 500 euros), celle-ci est très proche de celles de ses concurrents qui le précèdent au classement.
Isaia Cordinier touche très naturellement la meilleure paye, lui qui revit après d’importants soucis physiques. Après de la Pro B et un 2e tour de draft NBA en 2016, il avait passé une saison blanche (2017-18) avant de retrouver une partie de ses sensations dans son club d’Antibes à 70 000 euros. Cette saison, il perce réellement à haut niveau comme en témoignent ses deux matches de novembre avec l’équipe de France et ses productions en Eurocup (14,6 points, 40,5% à trois-points, 5,6 rebonds, 2,9 passes et 1,8 interception). Son côté extrêmement spectaculaire est un super bonus. On verra quelle sera sa prochaine destination -plusieurs clubs d’Euroleague sont intéressés- mais il est certain qu’à l’avenir, il vaudra beaucoup plus cher sur le marché.
La masse salariale de la JSF est bien répartie entre Français et étrangers. Chris Warren et Brian Conklin méritent leurs émoluments. Du sûr, c’est la 3e saison au club du premier et la 4e en France du second et la deuxième dans les Hauts-de-Seine. On s’aperçoit que le club des Donnadieu a eu à prix cassés Marcquise Reed (ex-Roanne) et surtout Johhny Berhanemeskel qui, il est vrai, ne vaut pas plus (2,7 d’éval). Le seul vrai couac est celui de l’ancien MVP étranger de Pro A, Dwight Buycks qui a fait un retour en France aussi rapide qu’inconsistant (4 matches, 7,3 d’évaluation), alors qu’il devait être l’une des têtes d’affiche du championnat.
Inutile de préciser que Victor Wembanyama touche un salaire d’espoir mais… qu’il n’a pas de prix.
Avec donc une masse salariale moyenne, Nanterre a déjà réussi à se qualifier pour le Top 16 de l’Eurocup et paraît devoir être compétitif pour une place en playoffs de Jeep Elite. Comme d’habitude.
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
- Isaïa CORDINIER (FRA) : 150 000 €
- Tyler STONE (USA) : 130 000 €
- Chris WARREN (USA) : 125 000 €
- Alpha KABA (FRA) : 120 000 €
- Brian CONKLIN (USA) : 110 000 €
- Ivan FEVRIER (FRA) : 75 000 €
- Lucas DUSSOULIER (FRA) : 66 000 €
- Damien BOUQUET (FRA) : 60 000 €
- Dwight BUYCKS (USA) : 50 000 € (sur 2 mois)
- Nikola REBIC (SRB) : 45 000 € (sur 6 mois)
- Marquise REED (USA) : 30 000 € (sur 6 mois)
- Johnny BERHANEMESKEL (ERI) : 40 000 €
Coach / Assistant :
- Pascal DONNADIEU (FRA) : 100 000 €
- Franck LE GOFF (FRA): 35 000 €
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« Dans la moyenne », c’est ce qui vient à l’esprit en consultant la liste des salaires de Nanterre 92. D’ailleurs, si le club des Hauts-de-Seine n’a que la 11e masse salariale (1 586 500 euros), celle-ci est très proche de celles de ses concurrents qui le précèdent au classement.
Isaia Cordinier touche très naturellement la meilleure paye, lui qui revit après d’importants soucis physiques. Après de la Pro B et un 2e tour de draft NBA en 2016, il avait passé une saison blanche (2017-18) avant de retrouver une partie de ses sensations dans son club d’Antibes à
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Photo d’ouverture: Isaia Cordinier (Eurocupbasketball)