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Spécial Salaires – Orléans : Chima Moneke, la TRÈS bonne affaire !

Photo d’ouverture : Chima Moneke (Photo : OLB – Paage Création) Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’Orléans Loiret Basket. Comme chaque année, ce dossie

Photo d’ouverture : Chima Moneke (Photo : OLB – Paage Création)

Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’Orléans Loiret Basket.

Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.

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À Orléans, on aime bien les fines gâchettes, capable de faire chauffer le tableau des scores. Et si ses meilleures armes, comme Miralem Halilovic ou Brandon Jefferson, ont migré vers des cieux plus rémunérateurs à l’intersaison, l’OLB a su composer avec une masse salariale en légère baisse (1 482 500 € contre 1 531 500 € la saison passée) pour attirer dans ses rets quelques joueurs de bon standing comme Darius Johnson-Odom, passé par l’Olympiakos et la NBA, et Luke Fischer, qui a sévi en Euroleague avant de rejoindre le Loiret. Et ce en restant raisonnable, même si Johnson-Odom est mieux payé que Chris Evans, le plus haut salaire orléanais de la saison passée.

Photo: Luke Fisher, OLB

Si, avec le meneur Paris Lee, ces joueurs forment un trio de haute volée, notamment en attaque, la meilleure prise de l’intersaison consiste en la venue en Jeep Élite de Chima Moneke, qui faisait le bonheur de Quimper en Pro B. Pour un tarif très amical, le bondissant Nigérian réalise peu ou prou les mêmes performances qu’à l’étage inférieur (18,4 d’évaluation contre 18,7 l’année dernière) lorsqu’il est valide – il a en effet raté trois matchs par la faute d’une blessure à l’épaule.

Dernier non-JFL de l’effectif, LaMonte Ulmer perçoit le même salaire qu’à Dijon, mais ses stats ont bien augmenté : 17,6 d’éval contre 11,2 la saison passée. Du côté des joueurs locaux, Landing Sane a consenti un gros effort financier pour signer à l’OLB (il touchait 150 000 € à Monaco pour 5,2 d’éval) tout en justifiant pleinement son chèque de fin de mois : 10,8 d’éval. Quant aux deux fidèles du club, Giovan Oniangue et Malela Mutuale, ils ont été récompensés par une hausse de leurs émoluments (+ 5 000 € pour Oniangue, + 10 000 € pour Mutuale). Deux joueurs « de l’ombre » précieux dans un collectif. Comme l’est également Gary Florimont, pivot remplaçant arrivant de Pro B et capable de donner de bonnes minutes en Jeep Élite pour un petit salaire.

Avec son effectif bien hiérarchisé et pétillant, Orléans peut viser plus haut pour peu que l’équipe arrive à gagner à l’extérieur (pour le moment, toutes ses victoires l’ont été à domicile alors que tous ses déplacements se sont soldés par une défaite…).

  • Darius JOHNSON-ODOM (USA) : 170 000 €
  • Paris LEE (USA) : 155 000 €
  • Luke FISCHER (USA/ARM) : 150 000 €
  • LaMonte ULMER (USA) : 120 000 €
  • Landing SANE (FRA) : 100 000 €
  • Chima MONEKE (NGR) : 80 000 €
  • Giovan ONIANGUE (FRA) : 75 000 €
  • Gary FLORIMONT (FRA) : 55 000 €
  • Malela MUTUALE (FRA) : 50 000 €

Coach / Assistant :

  • Germain CASTANO (FRA) : 70 000 €
  • Thomas DROUOT (FRA) : 26 500 €

Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.

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À Orléans, on aime bien les fines gâchettes, capable de faire chauffer le tableau des scores. Et si ses meilleures armes, comme Miralem Halilovic ou Brandon Jefferson, ont migré vers des cieux plus rémunérateurs à l’intersaison, l’OLB a su composer avec une masse salariale en légère baisse (1 482 500 € contre 1 531 500 € la saison passée) pour attirer dans ses rets quelques joueurs de bon standing comme Darius Johnson-Odom, passé par l’Olympiakos et la NBA, et Luke Fischer, qui a sévi en Euroleague avant de rejoindre le Loiret. Et ce en restant raisonnable, même si Johnson-Odom est mieux payé que Chris Evans, le plus haut salaire orléanais de la saison passée.

Si, avec le meneur Paris Lee, ces joueurs forment un trio de haute volée, notamment en attaque, la meilleure prise de l’intersaison consiste en la venue en Jeep Élite de Chima Moneke, qui faisait le bonheur de Quimper en Pro B. Pour un tarif très amical,

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