Photo d’ouverture : Lille (photo : LMBC – Christophe Delrue)
Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Voici pour continuer les salaires des joueurs et du staff technique de Gries-Oberhoffen, Lille et Nancy.
Comme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.
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Après les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.
Ces salaires sont publiés quotidiennement, à raison de trois équipes par article.
Comparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison…
Comme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.
Gries-Oberhoffen, se maintenir sans folies
Lorsqu’on présente la 12e masse salariale de Pro B (582 000 €), on vise évidemment plus le maintien que les hautes sphères de la division. Et, il faut l’avouer, l’affaire n’est pour le moment pas bien embarquée, Gries-Oberhoffen figurant à la dernière place du classement avec 2 petites victoires en 9 matchs. En outre, le BCGO n’a pas été épargné par les mouvements d’effectif et les blessures. Peu à leur aise, Jérémy Bichard et Franck Séguéla sont retournés en NM1 alors qu’Hugo Robineau arrivait des Espoirs de Cholet et Jacques Eyoum de ceux du Mans. Côté infirmerie, Warren Woghiren n’a pu jouer que deux matchs avant de se blesser, suivi par Asier Zengotitabengoa après 4 rencontres et, « cerise sur le gâteau », Amanze Egekeze à l’occasion des fenêtres de qualification avec la sélection du Nigéria. Gries-Oberhoffen a fait appel au meneur bosnien Filip Adamovic fin janvier et, dernièrement, à l’arrière slovène Maj Kovacevic pour remplacer les manquants. Si Kevin Dinal et Brandon Edwards font plus que justifier leur haut salaire (à l’échelle du BCGO) et si Louis Cassier fait un excellent début de saison, les deux Espagnols de l’équipe – Asier Zengotitabengoa et Josep Franch – ainsi que Jean-François Kebe n’ont pas apporté autant que souhaité. Reste à voir si la greffe « yougoslave » va prendre et permettre au BCGO d’échapper au couperet.
- Kevin Dinal (FRA) : 50 000,00 €
- Brandon Edwards (USA) : 42 000,00 €
- Jean-François Kebe (FRA) : 41 000,00 €
- Asier Zengotitabengoa (ESP) : 40 000,00 €
- Josep Franch (ESP) : 40 000,00 €
- Amanze Egekeze (NIG/USA) : 40 000,00 €
- Louis Cassier (FRA) : 32 000,00 €
- Filip Adamovic (BOS) : 25 000,00 € (sur 5 mois)
- Warren Woghiren (FRA) : 20 000,00 €
- Jacques Eyoum (FRA) : 9 600,00 € (sur 6 mois)
Coach :
- Ludovic Pouillart : 50 000,00 €
Lille joue à se faire peur
Encore une équipe à petits moyens (13e masse salariale, 570 000 €) qui a dû faire des paris pour son recrutement, paris pas tous gagnants : Marshall Moses n’avait pas le rythme, Carlos Novas-Mateo peinait à se mettre au niveau. D’autant plus que leurs remplaçants, Dinma Odiakosa et Gaylor Curier, n’ont pour le moment pas encore montré grand-chose. Quand en plus le plus gros salaire du club, Jean-Victor Traoré, ne se montre vraiment pas au niveau de sa précédente saison (6,6 points et 8,4 d’évaluation cette saison contre 12,3 pts et 18,2 d’éval la précédente), cela fait beaucoup. L’excellent début de saison des (relativement) bien payés Jonathan Kazadi, Nicolas Taccoen et Thomas Hieu-Courtois ne compense pas tout, pas plus que le bon rendement de Raijon Kelly, le meneur américain à petit prix. Les Red Giants doivent s’attendre à souffrir pour se maintenir.
- Jean-Victor Traoré (FRA) : 75 000,00 €
- Jonathan Kazadi (CH) : 42 000,00 €
- Nicolas Taccoen (FRA) : 38 000,00 €
- Thomas Hieu-Courtois (FRA) : 35 000,00 €
- Luc Loubaki (FRA) : 28 000,00 €
- Raijon Kelly (USA) : 25 000,00 €
- Lorenzo Thirouard-Samson (FRA) : 15 000,00 €
- Louis Rucklin (FRA) : 15 000,00 €
Coach :
- Jean-Marc Dupraz : 60 000,00 €
Nancy attend plus de ses cadres
Avec ses 835 000 € de masse salariale, le SLUC Nancy figure dans le trio de tête des équipes de Pro B les mieux pourvues en la matière. Pour un résultat pour le moment pas tout à fait à la hauteur des espérances. 7e avec 6 victoires pour 4 défaites, le SLUC n’est pas là où on l’attendait, en haut du classement. L’une des raisons de cette petite déception tient au rendement peut-être un peu moins bon qu’attendu de Tyran de Lattibaudière et de Ron Lewis. Non pas que leurs statistiques soient mauvaises (14,0 points et 18,1 d’éval pour le premier, 17,2 pts et 13,8 d’éval pour le second), mais ils pourraient faire mieux. Tout comme Mérédis Houmounou, dont les 6,9 d’éval peinent à justifier un salaire confortable pour la Pro B. À l’inverse, les « minots » du cru, Enzo Goudou-Sinha et Bastien Vautier, continuent à progresser et justifient la confiance placée en eux. Enfin, il est à noter qu’Andell Cumberbatch se montre bien plus complet que celui qu’il remplace, Yannick Franke, mais sans faire passer Nancy à un niveau supérieur. Cela étant, la qualité est là, ne reste qu’à hausser le niveau défensif (82,1 points encaissés, c’est beaucoup) et à trouver du liant pour que le SLUC redresse la tête.
- Ron Lewis (USA) : 70 000,00 €
- Tyran De Lattibaudière (JAM) : 68 000,00 €
- Mérédis Houmounou (FRA) : 52 000,00 €
- Enzo Goudou-Sinha (FRA) : 50 000,00 €
- Bastien Vautier (FRA) : 48 000,00 €
- Charles Nkaloulou (RDC) : 40 000,00 €
- Andell Cumberbatch (USA/JAM) : 36 000,00 € (sur 6 mois)
- Anthony Labanca (FRA) : 32 000,00 €
- Vincent Vent (FRA) : 28 000,00 €
- Lucas Ugolin (FRA) : 18 000,00 €
Coach :
- François Perronet : 72 000,00 €
Les salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.
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Après les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.
Ces salaires seront publiés quotidiennement à partir d’aujourd’hui, à raison de trois équipes par article.
Comparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison…
Comme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.
Gries-Oberhoffen, se maintenir sans folies
Lorsqu’on présente la 12e masse salariale de Pro B (582 000 €), on vise évidemment plus le maintien que les hautes sphères de la division. Et, il faut l’avouer, l’affaire n’est pour le moment pas bien embarquée, Gries-Oberhoffen figurant à la dernière place du classement avec 2 petites victoires en 9 matchs. En outre, le BCGO n’a pas été épargné par les mouvements d’effectif et les blessures.
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