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Tony Parker et l'ASVEL : "Ce n'est pas viable que je remette au pot tous les ans"

Dans une interview à L'Equipe, Tony Parker confirme son attachement à l'ASVEL mais qu'il n'est plus disposé à mettre la main à la poche. Le président évoque également les problèmes rencontrés avec l'Olympique Lyonnais, Smart Good Thinks et Skweek.

©FIBA
"OL Group, c'est fini ! La stratégie de Textor (NDLR : John Textor, l'homme d'affaires américain propriétaire du club), c'est le foot seulement, déclare Tony Parker à L'Equipe. Il n'est pas intéressé par le basket. Avec l'OL, on n'est plus une famille. L'OL reste actionnaire dans le club cette saison (à hauteur de 25%) mais je pense qu'ils veulent vendre. Avec Jean-Michel Aulas, on voulait faire de grands trucs ensemble. On fera autrement. Pour Smart Good Things, je suis passé à autre chose. C'était une opportunité, c'est dommage.  
Des gens qui veulent investir dans le basket, il n'y en a pas énormément. L'idée a toujours été de faire grandir le club je n'ai jamais voulu partir. Quand tu connais ma vie privée, mes enfants sont là, j'adore Lyon, je ne veux aller nulle part ailleurs. Pour Skweek, C'est juste qu'il ne paie pas. S'il payait en temps et en heure, il y aurait zéro problème. Là, ça me met de la pression au quotidien, sur la trésorerie. Il se pourrait qu'on ne continue pas avec Skweek l’année prochaine. Ce n'est pas viable non plus que je remette au pot tous les ans. Je pense que tu es obligé de le faire au début, pour lancer le projet, notamment le club féminin. Mais ça n'est pas viable. J'ai dit l'année dernière que c'était la dernière fois. Ca, c'est fini. Maintenant, il faudra faire autrement."

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