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Le championnat de France a longtemps souffert de la comparaison financière avec ses voisins étrangers. Pour une question de taxation, sans doute, mais aussi de réputation. Aujourd’hui, nous pouvons affirmer que le retard a été en partie comblé. Il y a trois saisons, aucun joueur n’excédait les 300 000 euros annuels. Aujourd’hui, ils sont douze à dépasser les 700 000 euros, dont la moitié de JFL - ce qui constitue une véritable révolution.
Ils sont même treize si l’on prend en compte le Monégasque Kemba Walker, qui ne joue qu’en Euroleague et dont le salaire à sept chiffres n’entre pas dans le calcul de la masse salariale de la LNB. Parmi les vingt plus gros portefeuilles de Betclic Élite, on retrouve 12 joueurs de Monaco et 7 de l’ASVEL. L’unique rescapé du top 20 de la saison 2023-2024 n’appartenant pas aux deux représentants français en Euroleague se nomme T.J. Shorts.