C’était une victoire remplie d’émotions, de haut et de bas. Comment l’avez-vous vécue ?
“Oui, remplie d’émotions, ça c’est sûr (sourire). On savait qu’une demi-finale face aux Belges, ça serait compliqué. On a fait des runs, elles ont fait des runs. Il y avait moyen de finir le match dans le temps réglementaire, on ne l’a pas fait. Elles reviennent... Mais voilà, on joue avec le cœur et avec les tripes, on est allé la chercher.
Racontez-nous votre plan anti Emma Meesseman…
Il n’y en avait pas forcément justement. On sait que c’est une très très forte joueuse. On savait qu’on allait avoir du mal à la couper. Je pense qu’elle fait encore un gros match, comme d’habitude. C’était plutôt les autres qu’il fallait essayer de réduire leur apport. Je pense que c’est ce qu’on a bien fait. On a réussi à réduire leur impact, à les couper d’Emma justement, et de la laisser faire ce qu’elle allait faire. De toute façon, c’est Emma, on savait qu’elle allait mettre des gros shoots. Le reste, c’était plutôt les autres à contrer.