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Victor Wembanyama : « Je n’ai pas le sentiment d’avoir à faire un effort pour gérer la hype »

Interviewé par ESPN lundi soir lors d’un match d’exhibition à Nanterre, le nouveau joueur des Metropolitans Victor Wembanyama (2,19 m, 18 ans) a affiché son calme quant à la gestion de sa carrière.

Interviewé par ESPN lundi soir lors d’un match d’exhibition à Nanterre, le nouveau joueur des Metropolitans Victor Wembanyama (2,19 m, 18 ans) a affiché son calme quant à la gestion de sa carrière.

Présent à Nanterre pour assister à la confrontation entre le California Basket Club de Bronny James, fils de LeBron, et une sélection U18 française de son agence, Comsport, Victor Wembanyama fut interviewé par ESPN durant la rencontre. Attendu comme le potentiel numéro un de la draft NBA 2023, il a été questionné à propos des énormes attentes placées en lui, notamment outre-Atlantique.

« Je n’ai pas le sentiment d’avoir à faire un effort pour gérer la hype. J’ai de très grandes attentes me concernant et je pense que je mérite ce que j’obtiens », a-t-il livré à ESPN.

Au fameux jeu des comparaisons, Victor Wembanyama a seulement affiché ses ambitions de changer le jeu NBA.

« Je détesterais que mon jeu ne ressemble qu’à un joueur, car ce ne serait pas assez ambitieux. Si je devais en choisir deux, je dirais Giannis et KD car ce sont en passant mes deux joueurs préférés (…) Et oui, Rudy Gobert en défense. Je veux être le meilleur de l’histoire dans certains domaines, la défense en fait partie » a-t-il ajouté.

Quant à ses hobbies personnels, l’ancien joueur de l’ASVEL a rappelé son appétence pour l’art, de manière générale.

« J’ai le sentiment d’être un artiste sur et en dehors des terrains. J’aime réfléchir à beaucoup de choses et travailler pour réaliser une œuvre d’art… J’aime dessiner, construire des lego, écrire. J’adore ça »

De retour de son premier voyage aux États-Unis, où il a notamment rencontré Iliana Rupert lors d’un match WNBA, le natif du Chesnay a par ailleurs ajouté qu’il avait hâte d’habiter outre-Atlantique, où il a apprécié « la manière dont on traite les athlètes » par rapport en Europe.

Photo : Victor Wembanyama (Thomas Savoja)

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