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Vincent Collet : « C’est mon plus grand moment de carrière en équipe de France »

  Vincent Collet atteint pour la deuxième fois la finale olympique. Un privilège très rare pour un coach. Il dissèque par thèmes la demi-finale face à l’Allemagne en attendant le rendez-vous ultime face aux Etats-Unis.

©FIBA

Sa première impression à l’issue de cette demi-finale :

Le bonheur. La fierté va venir quand on va réfléchir un peu, mais la première émotion c’est le bonheur. Tout simplement.

Le chemin parcouru depuis le premier match contre l’Allemagne :

C’était il y a six jours. Je mesure non seulement depuis le premier match mais aussi depuis le début de la prépa. Comme quoi il faut croire que ce que l’on avait semé depuis le début de prépa avait fait des petits. Il fallait un électrochoc et je crois que c’est notre entrée dans les matchs couperet et peut-être aussi justement l’ampleur de la défaite contre l’Allemagne vendredi (71-85). Je pensais qu’après le Japon on allait monter en puissance contre les Allemands mais on n’était toujours pas au rendez-vous au niveau de l’intensité qu’il fallait mettre dans ce match-là. Le dernier match de poule a été très salvateur et on a senti, à partir de l’entraînement de dimanche, que quelque chose était en train de changer.

Les choix tactiques qui ont permis de réduire l’efficacité offensive du Canada et de l’Allemagne, qui se sont retrouvés très en-dessous de leur moyenne :

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