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Vincent Poirier aux Boston Celtics: « l’équipe de France m’a permis d’arriver ici avec moins de lacunes »

Vincent Poirier est entré en NBA avec le prestigieux maillot des Boston Celtics sur le dos mais par la petite porte du Madison Square Garden: cinq minutes de jeu et deux points face aux Knicks au cours d’une large victoire, 95-118. BasketUSA était là pour ses grands débuts.

Vincent Poirier est entré en NBA avec le prestigieux maillot des Boston Celtics sur le dos mais par la petite porte du Madison Square Garden: cinq minutes de jeu et deux points face aux Knicks au cours d’une large victoire, 95-118. BasketUSA était là pour ses grands débuts.

L’ancien pivot de Levallois raconte qu’il ne s’intéresse à la NBA que depuis deux ans et surtout à partir du moment où il a senti qu’il avait un possible avenir dans la ligue américaine. La différence de logistique entre la NBA et l’Euroleague qu’il a découvert avec Baskonia Vitoria ?

« En Euroleague, il y a certes un peu moins de déplacements, mais c’est un peu plus compliqué… Ici, on a tout a disposition, on a un avion privé, donc ça va… (sourire). On va dire que les voyages sont un peu plus facilités. On ne le ressent pas trop car on ne fait que des petits trajets pour l’instant. L’Euroleague, c’était entraînement tous les jours, entraînements collectifs, c’était différent. On va dire que sur ce point-là, c’est un peu plus « facile » en NBA. »

Vincent Poirier explique que son expérience avec l’équipe de France à la Coupe du monde lui a été très profitable:

« L’équipe de France m’a aussi permis d’arriver ici avec moins de lacunes on va dire. J’ai pu échanger avec Rudy (Gobert), j’ai pu échanger avec les joueurs NBA et donc je suis arrivé ici avec un peu moins de lacunes que ce que j’aurais pu faire si je n’avais pas fait l’équipe de France. Ça m’a aidé, puis ça me permet aussi de travailler d’autres aspects de mon jeu. On sait que la NBA, ça s’écarte beaucoup donc j’essaye de travailler mon tir, mais aussi d’être solide. J’essaie un peu de prendre le rythme, la température durant les matches pour voir comment je peux être efficace et surtout ne pas faire d’erreurs. »

Photo: FIBA

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