A Helsinki pour le premier tour de l’Eurobasket, Vincent Poirier a répondu aux questions des journalistes et notamment de BasketEurope lors d’un point presse de l’Equipe de France.
[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]
On imagine beaucoup d’excitation avant de commencer cette grande compétition, comment vous vous sentez ?
Je me sens bien. Je reviens d’une petite blessure au mollet donc j’ai repris que hier et avant-hier mais là je me sens bien, je me sens prêt à disputer le premier match. Je suis motivé, je suis officiellement dans les 12 donc, j’ai hâte que ça commence.
Vous aviez un doute jusqu’à l’annonce officielle ?
Pas forcément un doute mais c’est vrai que sur les dernières semaines à cause de ma gène au mollet, on sait jamais, on ne sait pas si ça peut revenir donc ça laissait un petit doute mais maintenant c’est réglé.
Comment décririez vous ce que vous êtes en train de vivre avec l’Equipe de France ?
C’est exceptionnel ! C’est un rêve, je regardais l’équipe de France à la télé et maintenant c’est moi qui y passe donc je suis vraiment content d’être là.
Qu’est-ce qui vous a le plus marqué ici ? Quand vous avez pu découvrir la salle ou les installations, vous vous êtes dit que vous étiez dans le vrai ?
Non, je pense qu’on sera vraiment dans le vrai quand on va arriver dans la salle pour le coup d’envoi. C’est vraiment là que ça va commencer pour de vrai.
Cette rencontre face à la Finlande est annoncée comme un match piège, vous voyez cela comme ça aussi ?
Oui, mais tous les matchs sont à prendre très au sérieux donc la Finlande ça va être un vrai gros test dès le premier match. C’est une équipe qui shoote beaucoup à trois points, il va falloir se régler là-dessus et ça a été travaillé à l’entraînement.
Vous serez deux anciens du PL avec Louis Labeyrie, forcément vous avez une complicité particulière ?
Ca fait maintenant cinq ans qu’on se connaît avec Louis, on a joué vraiment deux ans ensemble donc, oui, j’espère que ça sera un atout pour l’équipe si on est amenés à être ensemble sur le terrain.
Vous souvenez vous du dernier Euro en 2015 ? Vous l’aviez regardé ? Qu’est-ce que vous vous étiez dit à ce moment-là ?
Je m’étais dit « allez les Bleus! » (rires) ! J’avais regardé, je me faisais des soirées devant les matchs avec mes potes de l’époque et je me disais « J’espère pouvoir y être un jour aussi ».
Vous aviez une certaine confiance en vous ou vous projetiez loin dans le temps ?
Non, pas forcément cette confiance en moi mais je voyais que les choses évoluaient vite donc je me suis dit « pourquoi pas moi dans les prochaines années », je voulais tout faire pour en tout cas.
Pendant la préparation, avez-vous senti que vous aviez une vraie carte à jouer et qu’il fallait la jouer à fond tout de suite ?
A partir du moment où tu es dans le groupe des 17, sachant que Moustapha était blessé, je me retrouvais en seul « grand gabarit » donc à partir de ce moment-là je savais que j’avais une carte à jouer.
En Pro A en grand gabarit justement il y avait Moustapha Fall mais vous n ‘étiez pas beaucoup avec ces dimensions physiques, sur les matchs de prépa est-ce qu’il y a un temps d’adaptation ou ça l’a fait tout de suite ?
Même aux entraînements, il fallait un temps d’adaptation pour connaître les joueurs avec qui tu joues parce qu’il n’y en avait aucun avec qui j’ai joué à part Louis et Antoine quand il était à Paris et encore je n’ai pas vraiment joué avec lui donc voilà, apprendre à connaître les joueurs, avoir des automatismes… C’était l’histoire d’une semaine pour tous se connaître, la prépa qui a été faite à Pau a beaucoup servi.
L’Equipe de France c’est avant tout collectif mais est-ce qu’il y a aussi une part de défi individuel pour vous qui allez vous frotter à l’Euroleague à la rentrée ?
Forcément il y aura une petite part de personnel dans l’histoire parce que quand je vais rentrer sur le terrain je vais vouloir montrer que je peux apporter donc là ça dépendra de moi et de la façon dont je joue. Mais le but c’est d’aider au maximum l’équipe donc je ferai le job et voilà.
Il n’y a pas beaucoup de personnes qui regardent la Pro A et donc qui ne vous connaissaient pas avant cet Euro. Avez-vous l’impression d’avoir progressé depuis la préparation ?
Je pense que oui, je suis toujours dans une phase d’apprentissage mais c’est sûr qu’au contact des joueurs d’Euroleague ou de NBA forcément tu apprends, tu progresses plus vite et puis l’Equipe de France c’est un niveau au-dessus en terme d’exigence donc c’est là où t’apprends à corriger les petits détails et c’est ça qui fait que tu deviens meilleur. Je l’ai senti sur les matchs de préparation à Toulouse, je me suis senti mieux qu’il y a deux mois dans mes déplacements etc, donc oui je pense avoir progressé.
Vincent Collet, en ce qui vous concerne, a toujours insisté sur le fait qu’il avait besoin de ce que vous apportiez, de l’impact que vous mettiez directement sur le terrain, est-ce qu’il vous donne des consignes particulières au moment d’entrer sur le terrain ?
Prendre des rebonds, courir, poser de bons écrans, faire des trucs simples mais faire ce que je sais faire. C’est toujours ce qu’il va me demander de faire donc j’essaye de le faire au maximum.
[armelse]
On imagine beaucoup d’excitation avant de commencer cette grande compétition, comment vous vous sentez ?
Je me sens bien. Je reviens d’une petite blessure au mollet donc j’ai repris que hier et avant-hier mais là je me sens bien, je me sens prêt à disputer le premier match. Je suis motivé, je suis officiellement dans les 12 donc, j’ai hâte que ça commence.
Vous aviez un doute jusqu’à l’annonce officielle ?
Pas forcément un doute mais c’est vrai que sur les dernières semaines à cause de ma gène au mollet, on sait jamais, on ne sait pas si ça peut revenir donc ça laissait un petit doute mais maintenant c’est réglé.
Comment décririez vous ce que vous êtes en train de vivre avec l’Equipe de France ?
C’est exceptionnel ! C’est un rêve, je regardais l’équipe de France à la télé et maintenant c’est moi qui y passe donc je suis vraiment content d’être là.
Qu’est-ce qui vous a le plus marqué ici ? Quand vous avez pu découvrir la salle ou les installations, vous vous êtes dit que vous étiez dans le vrai ?
[/arm_restrict_content]
[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2″ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
Photo : FFBB
