Vous voulez tout savoir sur le Parisien Vincent Poirier, 23 ans, qui mériterait le trophée du joueur ayant le plus progressé en Pro A sur l’année 2016 et qui peut aller encore beaucoup plus haut ? Savoir comment on se débrouille dans la vie de tous les jours quand on mesure 2,13m pour 115 kg ? Il y a plein de révélations dans l’article du Parisien de ce jour, à lire ici. En plus les photos sont spectaculaires.
Déjà avec un père qui culminait à 1,92m et une mère d’une taille presque égale, 1.88m, on est bien parti pour être un géant. Ce qui n’est pas toujours drôle surtout quand on est ado.
« Plus jeune, j’avais l’impression que, jamais, je n’arrêterais de grandir. En classe de seconde, j’ai commencé à ne plus pouvoir passer les portes. Elles sont à 2,05 m et moi je mesurais 2,04 m… sans chaussures. Pour passer les portes, je prenais mon téléphone et je faisais semblant de regarder ou d’écrire quelque chose pour baisser la tête naturellement. J’étais complexé. »
Comme tout les big men, Vincent a recours principalement à Internet pour s’habiller.
« Avec le club, on est équipés par une marque spécialisée pour les grands et les costauds. Je suis quand même obligé de m’adapter. J’aime bien les jeans avec des trous ou déchirés mais on n’en trouve pas à ma taille. Parfois, je fais les trous moi-même. Plus jeune, c’était plus compliqué et cela coûtait cher à mes parents. Grâce à Internet, je vais rarement en boutique. Mais il faut faire attention et s’y connaître car certaines marques taillent différemment. J’aime les vêtements longs et cintrés, proches du corps. »
Et puis, terminé les complexes avec les filles. Celles-ci sont prévenues, il leur faut être à la hauteur !
« Les femmes aiment bien être avec des grands, car elles peuvent mettre des talons et elles se sentent en sécurité. Ce sont elles qui me l’ont dit. Pour moi, si la fille ne mesure pas au moins 1,70 m, ce n’est pas possible. Ma première copine mesurait 1,68 m, ça faisait beaucoup d’écart. »