Interviewé par La Gazzetta dello Sport, l’international italien Simone Fontecchio (2,03 m, 26 ans) évoque son arrivée en NBA, au Utah Jazz, et le rôle de ses coaches en équipe nationale et en club.
Extraits :
Sa signature au Jazz : « Fascinant, difficile à mettre en mots. Quelque chose loin de la perception, presque choquant. Je suis très excité. Je n’avais pas perdu espoir, au contraire j’étais heureux de rester à Vitoria, un endroit parfait pour grandir. Je me suis dit : « Ce sera pour l’année prochaine ». Une belle surprise qui m’a bouleversé ».
La NBA : « Je pense que je peux rester là-bas. Je vais devoir être solide en défense, dangereux aux shoots derrière l’arc. Bien sûr, il existe une multitude d’options à développer et à affiner pour démontrer que je peux rester à ce niveau ».
Les entraîneurs qui ont contribué à son développement : « Tous. Aito, à Berlin, a été fondamental avec un mélange parfait dont j’avais besoin : à 75 ans, il a une grande énergie et transmet de la confiance et il dit des choses essentielles à faire sur le terrain ».
L’été 2021 en équipe nationale : « Encore un moment très important. Je remercie Meo Sacchetti de m’avoir accordé toutes ces minutes de jeu. Je ne m’y attendais pas. J’étais dans un moment de forme hallucinante, je scorais… Mais la satisfaction personnelle n’est rien comparée aux résultats de l’équipe ».
L’impact avec l’entraîneur Gianmarco Pozzecco ? « Optimal. Il est parfaitement entré dans le rôle avec sa façon d’être positif et énergique. C’est idéal pour ce rôle. En équipe nationale, on a aussi besoin d’un peu de « légèreté » : le bleu est tellement un honneur que le sacrifice d’être loin de la famille pèse moins. »
Photo : FIBA
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